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Les zones humides

Les zones humides sont définies en droit français depuis la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 comme : « les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d'eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l'année ».

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Leur définition s’appuie donc sur deux critères : l’hydromorphie, qui indique la présence prolongée d’eau dans le sol pendant au moins une partie de l’année, et la présence d’une végétation, « quand elle existe », typique des zones humides (plantes hygrophiles).

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Cette définition a été explicitée dans le décret du 23 mars 2007 (article R211-108 du code de l’environnement) puis l’arrêté du 1er octobre 2009 a précisé qu’une zone est considérée comme humide dans le cas où elle présente l'un des deux critères, ou les deux. A notre connaissance, aucune décision juridique n’avait jusqu'à présent exigé le cumul des deux critères.

Journées mondiales des zones humides 2018

Les zones humides sont des terrains gorgés d'eau qui assurent des fonctions indispensables à l'homme. Elles procurent 25% de l'alimentation mondiale, sont des trésors de biodiversité, protègent contre les inondations et la sécheresse.

La moitié des zones humides ont disparu au cours du siècle denier. pourtant, elles offrent de nombreux services gratuits. Mobilisons-nous d'urgence ! Protéger les zones humides, c'est bon pour l'économie et l'attractivité des territoires.

Déclaration de Martha Rojas Urrego, Secrétaire générale de la Convention de Ramsar sur les zones humides à l’occasion de la Journée mondiale des zones humides 2 février 2018

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